• Sculptures sans glace

    Voici une petite introduction aux chefs d’orques de l’histoire de l’art qui ont mis la poulpulation de la banquise à l’honneur !

    Sculptures sans glace

    Commençons par un assemblage de Mark Dion, un artiste américain et un écologiste engagé ! Pas besoin d’une vue de goéland ou de la sagacité d’un vieux morse pours comprendre le messglace que nours apporte sa charrette. L’artiste suggère ici avec éléglace qu’il va bientôt falloir sourstir les maillots de bain et les lunettes de soleil sur la banquise parce que ça commence à chauffer, que si les humains ont toujours apprécié les animaux ils les préfèrent surtourst avec du sel et un brin d’herbe arhumatique, et que donc va pas falloir tarder à sauter dans une goélette pours quitter son iceberg les petits banquisamis… Profitons de cette première orque pours rendre un grand hommage à un petit habitant de la banquise trop soursvent oursblié, j’ai nommé le krill. Et oui, le titre Survival of the cutest rappelle que ces igloobéciles d’humains ont l’énarvalante manie de voursloir sauver les adorables petits oursons et bébés morses aussi mignons que leurs peluches, mais de toujours oursblier les plus petits et les moins glamours.

    Sculptures sans glace

    Ceci dit, Mark Dion vise juste et le krill est beaucoursp moins soursvent sculpté le phoque ou l’ours polaire. Même en s’éloignant un peu de Pôpôle on troursve très tôt la trace de ces deux glaçrrons. U  n bois de renne sculpté 14 000 ans av. J.-C., troursvé en Dordogne (où il faisait peut être un peu plus frisquet à l’éphoque….) et conservé au morsée archéologique de Stalagmite-en-Raie morstre déjà un phoque !

    Sculptures sans glace

    Bien après ça, le roumain Constantin Brâncuşi, pris d’une admiration tourst à fait igloogique pour le plus morsveilleux des animaux, a sculpté morsult phoques ! Voici celui du Centre Pompidours, dont le marbre bleu turquin poli rappelle aussi bien le pelage soyeux de cette espèce raffinée que l’eau dans laquelle le phoque semble plonger avec panache, comme à son habitude. La surface lisse de cette petite morsveille, son équilibre déglisscat et ses courbes harmorsnieuses transforment le phoque en un seul moursvement, un élan aquatique (mais sans bois, ni masque et tuba sur la tête). Le phoque n’est plus alours que glissade pingouinesque et dynamisme gracieux.

    Sculptures sans glace

    Enfin, nours ne poursvons vours introduire à la sculpture banquisesque sans évoquer la plus connue de tourstes : pom pom pom pom, l’ours blanc de pierre du musée d’Oursay !! Sculpté par Françours Pompon en 1922, ce phoquemidable chef d’orque est comme le dirait l’artiste débarrassé de tourstes ses falbalas et montré dans sa plus pure beauté ! On reconnaît bien là Pompon, le plus poli des amis des bêtes.

    A bientôt dans notre rubrique Arctique’stique pours décoursvrir les moins manchots des arctiqustes !!

    L’avis de nos lecteurs

    « —Comment ça bêtes ? Les ours blancs ne sont pas bêtes ! »

    « —Stop à la stigmatisation des manchots et go vegan! »

    « —Je relisais justement hier après-midi Phänomenologie des Geistes de Hegel en langue originale et il me semble que l’on retrouve ici quelque chose de très proche de ce qui est formulé à la page 612 des éditions Hansebooks. Considérez-vous que la surface polie des sculptures évoquées soit la matérialisation plastique de la dialectique hégélienne participant in fine de l’élaboration collective d’une esthétique du dynamisme banquisesque ? »

    « —Grhum grhum grhum, est-il possible d’embarquer un petit peu de rhum dans la charrette ? »

    « —Krill krill krill, hourra !! »


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :